Cette école n’est connue qu’ à travers quelques délibérations du conseil municipal.
L’institutrice Jeanne Millour ne possédait pas le brevet de capacité. Sa famille tenait un bar-tabac à l’emplacement actuel du Fun Board (café-tabac-journaux). Elle a exercé à la satisfaction générale pendant plus de 25 ans dont au moins 20 dans sa propre maison.
La commune ne l’a jamais rémunérée. Nous ignorons le nombre de filles dont elle s’occupait et à quelles conditions. Quand elle a pris sa retraite en 1879, la commune a enfin consenti à se pencher sur la nécessité d’ouvrir une école communale pour les filles.